"Aujourd’hui ça y est, cette foutue poignée,
Qui depuis le départ, ne cesse de grogner,
Et d’harceler mes sens, de ses nombreux clins d’œil,
Va prendre enfin ma main, dans sa tronche de veule,
Aujourd’hui ça y est, enfin je vais sortir,
J’abandonne mon bric, mon brac et je me tire. "