"Le monde est une flaque, d’eau stagnante et puante,
Face à laquelle l’humain, se tient d’un air pédant,
Il s’y penche et épanche, non pas sa gorge sèche,
Mais la soif de ses yeux, observant cette mèche,
Caressant ses sourcils, lui donnant l’air rebelle,
Imaginant d’avance, l’effet artificiel,
Qu’elle va produire alors, dans les regards des autres
Et le plaisir grandit, alors l’humain s’y vautre."