Au final j’en sais rien, pourquoi j’écris autant,
Mais voilà je le fais, de l’hiver au printemps,
La tête emplie de rêves, et l’envie d’étaler,
Pourtant parfois je sens, l’envie de détaler,
Qu’il n’y as plus de sens, à ces mots emmêlés,
A ces lettres formées, à ses phrases enroulées, "